| Dernières réponses | |  Il pencha la tête et réfléchit
-Je vais être honnête avec toi, je n'ai rien de bien préci contre toi. Bien sur, tu es de la serpette, il y a donc l'animosité de base, mais tu n'as pas encore tenté quelque chose contre moi, je ne peux donc pas t'e nvouloir vraiment. Disons que mon attitude envers toi est neutre.........Pour ce qui est de mon vrai visage, je le guarderait caché au sens propre du therme, je ne l'aime pas^^
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| | Elle lui adressa un vague sourire, à peu près franc.
" Non. J'aimerais simplement voir la vraie face de mon ennemi. A te voir ainsi, j'ai franchement l'impression que tu m'aimes bien. Et c'est tout à fait perturbant, étant donné que je sais que ce n'est pas le cas. "
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| | Il se gratta le menton
-Je ne vois vraiment pas ou est le problème. Un homme a dit un jour "même s'il te faut tuer ton pire ennemi, rien ne t'empêche de le faire avec dignité et élégance."
il haussa les épaules
-D'un autre cotés, si t uy tiens, je peux simplement me montrer violent et ainsi briser ce que tu prends pour de l'hypocrisie.......
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| | Elle eut un sourire poli, bien qu'un peu hypocrite. Elle refusa d'un signe de main.
" Je te trouve ridicule...Parce que tu es pathétique. Avec tes manière de gentleman, tes sourires tout gentil, ton sens de la politesse, et ton amour propre. On est ennemi, non ? Et toi tu me tends un mouchoire comme si on était les meilleurs amis du monde. Ca ne marche pas avec moi. Je ne suis pas une fille qu'on adouci avec des idioties pareille. Oh non, crois moi... "
Son sourire s'effaca peu à peu.
" Je te déteste. Mais j'attendrais que tu te décides à me ramener. Même si je dois mourir d'ennui. "
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| | Maxims rit un instant lui aussi
-Heureux de t'avoir amusé. Mais puis-je savoir ce qui te donne l'idée que je suis à ce point ridicule?
Il sortit un mouchoir de sa poche et lui tendit
-Tu as les larmes aux yeux^^
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| | Soudain, elle fut prise d'un grand fou rire, sans raison évidente. Il se plaqua une main sur la bouche, pour s'empêcher de glousser aussi stupidement qu'une gamine. Elle se tint le ventre, mais elle n'arrivait toujours pas à se calmer. Cela dura environ une dizaine de minute, entre temps, elle avait eu le temps de s'asseoir par terre et de se tenir la tête dans les mains, au bords de la crise de larme de rire. Elle se calma enfin et leva les yeux vers Maxims, un grand sourire aux lèvres.
" Tu me fais rire. Oh oui, tu me diras que tu l'as remarqué. Et sais-tu pourquoi ? " Elle gloussa à nouveau. " Parce que tu es parfaitement ridicule. "
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| | Maxims se contenta de lui sourire et rit un instant
-Le fait que tu sois une fille n'altère en rien mon jugement, je suis pas sexiste le moins du monde^^.
Il regarda ses ongles un instants
-Quant à tes menaces, tu me permetra d'en rire^^
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| | Kelig se plia en deux, grimaçant de douleur. Elle était tellement pressée de quitter cet endroit qu'elle n'avait pas réfléchi et prit garde à ses défenses. Elle ne supportait pas tout contact avec la magie, alors être enfermée dans une illusion n'était pas pour lui plaire. Elle releva la tête, rejettant ses cheveux en arrière. Elle planta son regard sur Maxims, haineuse.
" Tu crois que je suis fragile c'est ça ? Parce que je suis une fille, je vais gober toute tes conneries ! "
Elle se redressa totalement, fixant toujours le Mage.
" Ramène moi. Sinon, je te tuerais. "
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| | Maxims rit de bon coeur
-Sinon quoi? tu vas me trancher la gorge? La question est maintenant de savoir ce qui arrivera si tu le fais.....
Il regarda d'un air distrait ses ongles
-Peut-être que tu retourneras de suite dans ton monde, peut-être que tu resteras à jamais ici......comment savoir^^
Sans prévenir, il lui donna un coup de coude dans le ventre et la fit basculer vers l'avant
-Et puis avant de faire des menaces, soit sure de m'avoir bien saisi^^
hj: ouais je sais, mais tu verras après que c'est pas tant que çà en fait^^
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| | HJ: MMh. C'est un peu gros ton truc mais bon...
Kelig s'était attendu à un truc, mais pas à ça. Elle ouvrit la bouche et contempla le décours, les yeux ronds. Mais elle décida de faire abstraction. Il fallait agir et vite. Avant qu'il n'ait eut le temps de prononcer un autre mot, kelig s'était glissée vers lui et avait placé la lame froide de son poignard contre la gorge de Maxims.
" Ramène moi, connard. "
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